Alexander Romanov did an interview with the Russian publication Sport24. There were a few interesting tidbits, including Romanov spending a couple of weeks in Montreal with the #Habs skills coaches, not seeing the Russophobia, and not knowing what poutine is. pic.twitter.com/AuyaDET2Rg
— Andrew Zadarnowski (@AZadarski) August 8, 2019
Calem Burger 25Stanley.com
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Alexander Romanov: il n’y a pas de russophobie à Montréal
Il y a deux semaines, Nikita Scherbak a tenu des propos très peu tendre à l’endroit du Canadien et du traitement des joueurs russes à Montréal. L’ancien choix de première ronde du tricolore a sous-entendu que les Russes n’étaient plus les bienvenus chez le tricolore.
Alexander Romanov n’est pas d’accord
L’entrevue de Scherbak avait été réalisée par le site Sport24. Deux semaine plus tard, Alexander Romanov s’est lui aussi confié au média russe, mais a clairement une opinion divergente de celle de Scherbak.
Le choix de 2e ronde du CH en 2018 ne croit pas qu’il y ait de la russophobie chez le Canadien. Lors de son bref passage à Montréal en juin dernier, le défenseur russe affirme avoir été accueilli chaleureusement. L’organisation du Canadien l’a bien traité. Les partisans le reconnaissaient sur la rue et se faisaient prendre en photo avec lui. Romanov affirme n’avoir ressenti ni racisme, ni russophobie.
L’anglais avant le français
Durant son entrevue, Alexander Romanov a également donné quelques détails supplémentaires sur sa venue à Montréal en juin. Il affirme que le coût de la vie est cher à Montréal, mais similaire à celui de Moscou. Il juge toutefois que les articles de sport en général sont moins chers à Montréal qu’en Russie.
La journaliste lui a demandé s’il avait l’intention d’apprendre le français. Alexander Romanov a répondu qu’il souhaitait d’abord se concentrer sur son apprentissage de l’anglais. Il souhaite perfectionner sa maîtrise de la langue de Shakespeare.
Finalement, le jeune défenseur avoue ne pas s’être senti immédiatement confortable à Montréal. Il précise toutefois qu’il se sent ainsi dès qu’il sort de sa ville natale; ce n’est donc pas un commentaire contre Montréal.
Sur une notre plus légère, Alexander Romanov a avoué qu’il n’avait pas encore compris ce qu’était exactement la poutine. Il faudra donc attendre qu’il vienne vivre à Montréal pour parfaire ses connaissances au sujet de la gastronomie québécoise!