Vincent Paquette
Published on Friday, September 4, 2015
1477
Reads
0
Comments
Dossier Expansion : Équipe de Las Vegas
Enfin les choses sérieuses commencent !
Après avoir identifié, en compagnie de mon collègue Jean-Sébastien Rodriguez, les joueurs qui seraient protégés ou non par les équipes des divisions atlantique, métropolitaine, centrale et pacifique, nous voici rendus au moment de composer l’équipe de Las Vegas !
Pour procéder, un tirage au sort a été fait pour savoir qui allait choisir pour Las Vegas et Québec. J’ai eu la chance et la pression de sélectionner l’équipe des Nordiques et mon collègue a quant à lui tenté le pari de celle de Las Vegas. Malgré cette attribution des équipes, il reste que nous nous sommes consultés pour chacun des choix et que ces assignations n’agissaient simplement que comme bris d’égalité. Tout ceci demeure hautement subjectif et laissez-moi vous dire que les sélections n’ont pas été des plus faciles tant le calibre des joueurs disponibles n’est pas très élevé. Nous tenons aussi à dire que nous nous sommes principalement basés sur les statistiques en carrière des joueurs pour effectuer nos choix.
Nous avons sélectionné 23 joueurs par équipe d’expansion ; 5 centres, 9 ailiers, 7 défenseurs et 2 gardiens. Nous étions également restreints dans nos choix par la règle du dernier repêchage d’expansion de l’an 2000 qui empêchait les équipes d’expansions de choisir plus de 2 joueurs d’une même équipe et de repêcher qu’un seul défenseur ainsi qu’un seul gardien par équipe.
On a bien tenté de mettre l’emphase sur les jeunes joueurs disponibles, car ce genre d’équipe en a certainement besoin, mais les jeunes joueurs disponibles n’avaient rien de très excitant. Également, nous devions minimalement atteindre le plancher salarial de la NHL qui se situe présentement à 52.8 millions de dollars, ce qui a donc impliqué de prendre des joueurs avec de gros salaires qui autrement n’auraient surement jamais fait notre équipe de hockey. C’est donc un mélange de jeunes, de vétérans et de gros salaires qui forment cette équipe ma foi un peu douteuse de Las Vegas. Mais bon c’est à vous de juger…
Notez que l’ordre des joueurs ci-dessous n’est pas celui de notre sélection.
Après avoir identifié, en compagnie de mon collègue Jean-Sébastien Rodriguez, les joueurs qui seraient protégés ou non par les équipes des divisions atlantique, métropolitaine, centrale et pacifique, nous voici rendus au moment de composer l’équipe de Las Vegas !
Pour procéder, un tirage au sort a été fait pour savoir qui allait choisir pour Las Vegas et Québec. J’ai eu la chance et la pression de sélectionner l’équipe des Nordiques et mon collègue a quant à lui tenté le pari de celle de Las Vegas. Malgré cette attribution des équipes, il reste que nous nous sommes consultés pour chacun des choix et que ces assignations n’agissaient simplement que comme bris d’égalité. Tout ceci demeure hautement subjectif et laissez-moi vous dire que les sélections n’ont pas été des plus faciles tant le calibre des joueurs disponibles n’est pas très élevé. Nous tenons aussi à dire que nous nous sommes principalement basés sur les statistiques en carrière des joueurs pour effectuer nos choix.
Nous avons sélectionné 23 joueurs par équipe d’expansion ; 5 centres, 9 ailiers, 7 défenseurs et 2 gardiens. Nous étions également restreints dans nos choix par la règle du dernier repêchage d’expansion de l’an 2000 qui empêchait les équipes d’expansions de choisir plus de 2 joueurs d’une même équipe et de repêcher qu’un seul défenseur ainsi qu’un seul gardien par équipe.
On a bien tenté de mettre l’emphase sur les jeunes joueurs disponibles, car ce genre d’équipe en a certainement besoin, mais les jeunes joueurs disponibles n’avaient rien de très excitant. Également, nous devions minimalement atteindre le plancher salarial de la NHL qui se situe présentement à 52.8 millions de dollars, ce qui a donc impliqué de prendre des joueurs avec de gros salaires qui autrement n’auraient surement jamais fait notre équipe de hockey. C’est donc un mélange de jeunes, de vétérans et de gros salaires qui forment cette équipe ma foi un peu douteuse de Las Vegas. Mais bon c’est à vous de juger…
Notez que l’ordre des joueurs ci-dessous n’est pas celui de notre sélection.
Attaquants
Joel Ward : Son âge est un facteur, mais il demeurait l’un des attaquants les plus productifs disponibles. Tout un ailier de 1er trio n’est-ce pas ?
Eric Fehr : En voilà un autre dont la production était l’une des plus élevée des joueurs disponibles.
Alexandre Burrows : Il s’est fait tasser par Vrbata à Vancouver, mais Burrows a rebondi la saison dernière et il a encore des qualités de marqueurs.
Zack Kassian : Quel est le vrai visage de Kassian ? Nous en saurons davantage cet automne, mais il demeure jeune, a un bon physique et a des qualités offensives. Sa constance semble être souvent remise en cause, il ne faudrait donc pas qu’il ait trop souvent joué au casino au risque de souvent perdre…
Brad Richards : Il a passablement ralenti la saison dernière, mais il a encore du talent et son leadership sera un atout.
Matt Martin : Les Américains aiment ça quand ça frappe ? Martin sera là pour brasser l’adversaire comme en témoignent ses 1648 mises en échec en 353 parties dans la LNH.
Erik Condra : Un attaquant plutôt axé sur le jeu défensif, mais aussi capable de produire un peu comme en témoigne ses 23 points en 68 matchs l’an dernier avec les Sénateurs. Bref un bon petit joueur polyvalent pas très cher en plus (1.25M pour 3 ans).
Richard Panik : Le Lightning avait perdu confiance en lui malgré deux saisons intéressantes dans la AHL entre 2012 et 2014. Il avait amassé 82 points, dont 41 buts en 115 matchs. Cela démontre quand même qu’il a du talent. Va-t-il se concrétiser dans la LNH ? Là est la question. N’empêche qu’il n’y a pas beaucoup de jeune joueur talentueux de disponible, alors nous ne pouvions passer devant.
Jeremy Morin : Un autre qui a eu dû mal à déployer son talent dans la LNH. Morin demeure un attaquant talentueux et surtout il n’a que 24 ans, des éléments qui ne pouvaient être ignorés dans le cadre d’un tel repêchage.
Nick Spaling : Il a développé une nouvelle facette dans son jeu, soit sa robustesse en délivrant 92 mises en échec de plus qu’en 2013-14. Cela ne l’a pas empêché de marquer près de 30 points la saison dernière. Un joueur qui peut avoir son utilité dans une équipe.
Brad Malone : Un attaquant de profondeur capable de jouer à l’aile et au centre. Sa faible production est certainement attribuable à la faiblesse des Hurricanes. Il ne deviendra pas pour autant un super pointeur, mais il demeure un joueur utile pour une formation.
Erik Haula : Il n’y avait pas grand place pour lui au centre des 3 premiers avec le Wild. Haula demeure un jeune joueur de centre, capable d’évoluer également à l’aile et qui avait démontré de belles choses en 2013-14.
Dave Bolland : Oh que son contrat de 5.5 millions pour les quatre prochaines saisons est horrible. Mais il fallait un tel salaire pour atteindre le plancher salarial.
Brandon Prust : On pourra dire ce qu’on voudra sur lui, ça forme physique ou son style de vie, il reste que Prust avait son utilité avec le Canadien et il pourra certainement aidé une équipe comme celle-ci. Mariepier Morin n’aimerait par contre peut-être pas le voir partir dans la ville du vice…
Eric Fehr : En voilà un autre dont la production était l’une des plus élevée des joueurs disponibles.
Alexandre Burrows : Il s’est fait tasser par Vrbata à Vancouver, mais Burrows a rebondi la saison dernière et il a encore des qualités de marqueurs.
Zack Kassian : Quel est le vrai visage de Kassian ? Nous en saurons davantage cet automne, mais il demeure jeune, a un bon physique et a des qualités offensives. Sa constance semble être souvent remise en cause, il ne faudrait donc pas qu’il ait trop souvent joué au casino au risque de souvent perdre…
Brad Richards : Il a passablement ralenti la saison dernière, mais il a encore du talent et son leadership sera un atout.
Matt Martin : Les Américains aiment ça quand ça frappe ? Martin sera là pour brasser l’adversaire comme en témoignent ses 1648 mises en échec en 353 parties dans la LNH.
Erik Condra : Un attaquant plutôt axé sur le jeu défensif, mais aussi capable de produire un peu comme en témoigne ses 23 points en 68 matchs l’an dernier avec les Sénateurs. Bref un bon petit joueur polyvalent pas très cher en plus (1.25M pour 3 ans).
Richard Panik : Le Lightning avait perdu confiance en lui malgré deux saisons intéressantes dans la AHL entre 2012 et 2014. Il avait amassé 82 points, dont 41 buts en 115 matchs. Cela démontre quand même qu’il a du talent. Va-t-il se concrétiser dans la LNH ? Là est la question. N’empêche qu’il n’y a pas beaucoup de jeune joueur talentueux de disponible, alors nous ne pouvions passer devant.
Jeremy Morin : Un autre qui a eu dû mal à déployer son talent dans la LNH. Morin demeure un attaquant talentueux et surtout il n’a que 24 ans, des éléments qui ne pouvaient être ignorés dans le cadre d’un tel repêchage.
Nick Spaling : Il a développé une nouvelle facette dans son jeu, soit sa robustesse en délivrant 92 mises en échec de plus qu’en 2013-14. Cela ne l’a pas empêché de marquer près de 30 points la saison dernière. Un joueur qui peut avoir son utilité dans une équipe.
Brad Malone : Un attaquant de profondeur capable de jouer à l’aile et au centre. Sa faible production est certainement attribuable à la faiblesse des Hurricanes. Il ne deviendra pas pour autant un super pointeur, mais il demeure un joueur utile pour une formation.
Erik Haula : Il n’y avait pas grand place pour lui au centre des 3 premiers avec le Wild. Haula demeure un jeune joueur de centre, capable d’évoluer également à l’aile et qui avait démontré de belles choses en 2013-14.
Dave Bolland : Oh que son contrat de 5.5 millions pour les quatre prochaines saisons est horrible. Mais il fallait un tel salaire pour atteindre le plancher salarial.
Brandon Prust : On pourra dire ce qu’on voudra sur lui, ça forme physique ou son style de vie, il reste que Prust avait son utilité avec le Canadien et il pourra certainement aidé une équipe comme celle-ci. Mariepier Morin n’aimerait par contre peut-être pas le voir partir dans la ville du vice…
Défenseurs
Alexei Emelin : Il n’a peut-être plus une place nécessaire dans le top 4 du Canadien, mais Emelin peut certainement y jouer dans un autre club. Sa robustesse est son principal atout, mais il n’est pas dénudé de flair offensif non plus.
Ben Lovejoy : Son passage avec les Penguins a été plutôt désastreux. S’il peut toutefois retrouver son niveau de 2013-14, Lovejoy amènera de la polyvalence alors qu’il peut alimenter l’attaque, frapper et bloquer des tirs.
John-Michael Liles : Il ne rajeunit pas, mais il a quand même récolté 22 points en 57 matchs avec les pauvres Hurricanes. Las Vegas aura besoin d’un défenseur plus offensif dans leur brigade.
Jakub Kindl : En voilà un autre qui pourrait amener une touche offensive. Le gros hic dans son cas demeure qu’il se blesse souvent. Toutefois, en santé ça demeure un défenseur qui peut avoir une bonne utilité, surtout pour l’avantage numérique.
Zbynek Michalek : Il fallait bien un autre défenseur à caractère défensif. Michalek n’a pas peur de bloquer des tirs et il est capable de jouer en moyenne près de 20 minutes par match.
Jyrki Jokipakka : Les jeunes défenseurs étaient une denrée rare et malgré qu’il n’est pas le plus flamboyant, il demeure un défenseur polyvalent et doté d’un bon physique.
Dylan Olsen : Cet ancien choix de 1re ronde de 2009 s’est fait doubler par Alex Petrovic chez les Panthers. Mais encore une fois, nous ne pouvions ignorer un jeune défenseur, malgré les déceptions qu’ils encourent. Il ne remplira peut-être jamais les attentes placées envers lui, mais des jambes fraiches ne nuiront pas à cette brigade.
Ben Lovejoy : Son passage avec les Penguins a été plutôt désastreux. S’il peut toutefois retrouver son niveau de 2013-14, Lovejoy amènera de la polyvalence alors qu’il peut alimenter l’attaque, frapper et bloquer des tirs.
John-Michael Liles : Il ne rajeunit pas, mais il a quand même récolté 22 points en 57 matchs avec les pauvres Hurricanes. Las Vegas aura besoin d’un défenseur plus offensif dans leur brigade.
Jakub Kindl : En voilà un autre qui pourrait amener une touche offensive. Le gros hic dans son cas demeure qu’il se blesse souvent. Toutefois, en santé ça demeure un défenseur qui peut avoir une bonne utilité, surtout pour l’avantage numérique.
Zbynek Michalek : Il fallait bien un autre défenseur à caractère défensif. Michalek n’a pas peur de bloquer des tirs et il est capable de jouer en moyenne près de 20 minutes par match.
Jyrki Jokipakka : Les jeunes défenseurs étaient une denrée rare et malgré qu’il n’est pas le plus flamboyant, il demeure un défenseur polyvalent et doté d’un bon physique.
Dylan Olsen : Cet ancien choix de 1re ronde de 2009 s’est fait doubler par Alex Petrovic chez les Panthers. Mais encore une fois, nous ne pouvions ignorer un jeune défenseur, malgré les déceptions qu’ils encourent. Il ne remplira peut-être jamais les attentes placées envers lui, mais des jambes fraiches ne nuiront pas à cette brigade.
Gardiens
Kari Lehtonen : Oui il est souvent affligé par des blessures ce qui nuit à son rendement et à ceux de son équipe. Néanmoins, le finlandais a quand même remporté plus de 30 victoires lors de quatre des cinq dernières saisons. La seule année où il n’a pu le faire était évidemment durant le lock-out. En santé il demeure quand même un vrai gardien numéro 1.
Michael Hutchinson : Hutchinson a bien fait avec les Jets lorsque Pavelec s’est blessé cette saison et avec Lettonnen il pourrait être appelé à profiter de ces blessures. Il représente un certain pari, mais bon c’est Vegas !
Masse salariale : 54 millions
Cette équipe a-t-elle vraiment de quoi aspirer à la coupe Stanley après huit saisons comme le déclarait le promoteur Bill Fowley ? Rien n’est moins sûr, mais il ne faudrait certainement pas gager là-dessus !
Source de l'image : multivu
Michael Hutchinson : Hutchinson a bien fait avec les Jets lorsque Pavelec s’est blessé cette saison et avec Lettonnen il pourrait être appelé à profiter de ces blessures. Il représente un certain pari, mais bon c’est Vegas !
Masse salariale : 54 millions
Cette équipe a-t-elle vraiment de quoi aspirer à la coupe Stanley après huit saisons comme le déclarait le promoteur Bill Fowley ? Rien n’est moins sûr, mais il ne faudrait certainement pas gager là-dessus !
Source de l'image : multivu